Bargedé Nicolas (1490 to 1525-27 May 1589) (6 citations)

• Eglogues sur Le trespas de haulte et puissante Princesse ma Dame Marie d'Albret, Duchesse de Nivernois, etc., « [Colin] Toy seul Claudin, souz l'ombre des ormeaux »
• A Monseigneur Monseigneur le duc de Nyvernois. Sonnet, « Si j'ay dressé mon œuvre bucolique »
• Moins que rien, « Muses plorons, ma mignonne et ma Muse » (f. D ij r°)
• A Messeigneurs messeigneurs le Maçon tresorier extraordinaire des guerres, et Dosme advocat à la court, pour presenter sa Bergerie d'honneur à Monseigneur le Reverendissime Cardinal de Meudon, « Ma muse changeons de propos, / Assez vous estes reposée »
• Argument de la Bergerie partie en trois buccoliques, « Le vieil Colin lieutenant des praries de Pan, dieu de bergers, avec Claudin et Colin ses enfans, et Colet leur grand amy, et tressçavant poete François... »
• La Bergerie

Guillon Claude (1480 to 1530-1550 to 1630) (1 citation)

• Claude Guillon, à M. N. Bargedé. Dizain, « Ardant desir faict ta muse appeller »

Bargedé Claude (1490 to 1530-1550 to 1620) (1 citation)

• Claude Bargedé, Lieutenant à Vezelay, frere de l'autheur, « J'ay congeu par ton œuvre / Ce que l'homme peult estre »

Boulangiers Barthélemy de (1480 to 1535-1550 to 1630) (3 citations)

• Barthelemy de Boulangiers à l'autheur, « Ton moins que Rien, filz aisné de la terre »
• B. de Boulangers Seigneur de Perrouzeaux à l'autheur. Huictain, « Si vous avez de Dieu receu la grace »
• Autre au lecteur, « Ayant l'autheur congneu que de ce monde »

Caneau Sébastien (1480 to 1535-1568 to 1630) (2 citations)

• Ledict Caneaul, de l'œuvre, « Je n'ay prisé ton œuvre, et ne le prise »
• Sebastien Caneaul, cousin de l'autheur à l'autheur, « Les uns par leurs sacrées plumes / Font livres d'amours gracieux »

Le Brech Francesco (1480 to 1535-1550 to 1630) (1 citation)

• Soneto di Francesco le Brech, « Scrisse superbamente il greco Poeta »

La Garde Louis de (1500 to 1560-1579 to 1650) (1 citation)

• A mon treshonoré sieur M. Nicolas Bergedé President au Bailiage et Siege Presidial d'Auxerre, Loys de la Garde, professeur des Mathematiques, et son humble Serviteur, « Ce vieillard ronge tout, ce fauscheur orgueilleux »